Pisser debout, pour une meuf, on peut dire ce qu'on veut mais c'est pas pratique. Et là croyez-moi, je parle d'expérience. C'était il y a quelques années, j'étais partie en vacances à moto avec des copains et des copines. Tout à coup, en pleine route dégagée, les mecs arrêtent les motos : ils avaient envie de pisser. Les filles aussi, mais c'était pas leur problème, aux mecs. Moi je décide que je ne vais pas me laisser victimiser : je passe de l'autre côté de la glissière de sécurité, et, casque sur la tête, j'écarte une jambe de mon short et je pisse. Les mecs ont sorti leur appareil de photo, brusquement j'étais devenue une star ! Je dois dire que j'étais très contente de moi, pour cette belle leçon de féminisme que j'ai administré pour pas un rond à mes copines, bien que je me soies quand même pissé sur les doigts.
Et moi qui vous imaginais comme une fée, une princesse ou une vendeuse de gauffres (cf Coluche) je vous découvre fille à motards, de ceux qui roulent en essaim, comme les mouches. Et en short, donc sans la combinaison sado-maso qui peut éventuellement racheter le coup. Le règne de François Hollande ne m'aura rien épargné. 2013 commence sous de sombres auspices debout de l'autre côté de la glissière. J'ai presque envie de décrocher mon poster d'Elisabeth Guigou instruisant Rachida Dati.
Dans le temps (je vous parle d'un temps etc), ça se faisait dans nos campagnes. J'ai vu, rue de Sèvres à Paris, une dame au costume "France très profonde", se mettre debout, au dessus du caniveau, écarter ses amples jupes et, l'affaire faite, reprendre sa marche.
Pisser debout, pour une meuf, on peut dire ce qu'on veut mais c'est pas pratique.
RépondreSupprimerEt là croyez-moi, je parle d'expérience.
C'était il y a quelques années, j'étais partie en vacances à moto avec des copains et des copines.
Tout à coup, en pleine route dégagée, les mecs arrêtent les motos : ils avaient envie de pisser.
Les filles aussi, mais c'était pas leur problème, aux mecs.
Moi je décide que je ne vais pas me laisser victimiser : je passe de l'autre côté de la glissière de sécurité, et, casque sur la tête, j'écarte une jambe de mon short et je pisse.
Les mecs ont sorti leur appareil de photo, brusquement j'étais devenue une star !
Je dois dire que j'étais très contente de moi, pour cette belle leçon de féminisme que j'ai administré pour pas un rond à mes copines, bien que je me soies quand même pissé sur les doigts.
Et moi qui vous imaginais comme une fée, une princesse ou une vendeuse de gauffres (cf Coluche) je vous découvre fille à motards, de ceux qui roulent en essaim, comme les mouches. Et en short, donc sans la combinaison sado-maso qui peut éventuellement racheter le coup.
SupprimerLe règne de François Hollande ne m'aura rien épargné.
2013 commence sous de sombres auspices debout de l'autre côté de la glissière.
J'ai presque envie de décrocher mon poster d'Elisabeth Guigou instruisant Rachida Dati.
Quelle précision!
RépondreSupprimerDans le temps (je vous parle d'un temps etc), ça se faisait dans nos campagnes. J'ai vu, rue de Sèvres à Paris, une dame au costume "France très profonde", se mettre debout, au dessus du caniveau, écarter ses amples jupes et, l'affaire faite, reprendre sa marche.
RépondreSupprimerC.Q.F.D son père s'appelait Marcel et sa mère Robert
RépondreSupprimerAh, c'est malin, hein ! Vous pouvez être fier de vous ! N'empêche, ça m'a bien fait rire. Merci;
RépondreSupprimeret encore je n'ai pas fait allusion aux mecs élevés par des femmes, on imagine sans peine...
Supprimeret encore je n'ai pas fait allusion aux mecs élevés par des trans, on imagine sans penis...
SupprimerPisser debout ok, mais chier debout un ! là c'est du sport ...
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